La photo du jour

En emmenant Léo aux manèges près du vélodrome de Gourdeliane, je suis tombé sur la fameuse lumière divine au dessus de la montagne qu’on a généralement de novembre à janvier.
Je me suis toujours demandé quel serait le meilleur endroit dégagé pour attendre tranquillement avec mon matos que la lumière soit pour enfin mitrailler à toutes les expositions possibles dans le but d’avoir au moins une photo potable.
Jusqu’à présent je n’ai toujours pas trouvé LE site.
Comme par chance ce soir j’avais mon appareil dans la voiture, je me suis arrêté dès que j’ai pu c’est-à-dire juste après le rond point en direction de la gendarmerie de Baie-Mahault. J’ai un peu zoomé vers la montagne pour éliminer un lotissement au 1er plan du cadre.
Et là, bingo dès la première photo ! C’est ce qu’on appelle un coup de bol (avec un peu d’expérience car la sous exposition a été intentionnelle). Les couleurs sont naturelles, directement issues du fichier raw, pas du tout retravaillées.

Comme certains m’ont demandé de mettre les paramètres des photos, les voici: 
1/2000 à f/6,7, iso 100; distance focale 150 mm avec un Tamron 18-250.
Le 30/12/2011 à 17h16. Coordonnées:  16°15’9.88″N; 61°35’54.50″O.

J’avais emporté un peu de matos car je comptais prendre des photos de Léo avec la lumière  des manèges et dans une auto-tamponneuse. J’avais évidement un flash et un déclencheur radio.
C’était également l’occasion de sortir mon nouveau minolta 28-70G f/2.8 acheté sur ebay début décembre. Quand je dis nouveau, c’est relatif car l’objectif a 10 ans. Il a des couleurs et un bokeh magnifique. Par contre il a un problème de back focus qui sera corrigé lorsque je changerai de boitier, ceci grâce aux micro réglages qu’on trouve sur les appareils récents.
1/10s à f/2.8, iso 200; 70 mm; flash à droite à 1/32, 85mm

1/10s à f/3.5, iso 200; 40mm; flash à gauche à 1/8, 75mm





Sinon, rien à voir: l’excellent site theoatmeal.com a fait remarquer que les appels aux dons de wikipedia pouvaient être marrants en raison de la mise en page du site. Ça devient très vite peu flatteur.
Exemple:



Ma voisine s’est mariée

Mylène est passée nous voir un mercredi soir (le 14/12 pour être précis) pour nous inviter à la réception de son mariage. Evidemment j’ai sauté sur l’occasion pour lui demander si elle avait un photographe. Il y en avait un de prévu mais la partie “préparation de la mariée” avait été zappée.
Une aubaine pour moi et de toute façon compte tenu de mon emploi du temps, c’est le seul moment du mariage que je pourrai photographier.

On a donc commencé chez Fabienne (You and Me Beauty, Hotel de la vieille tour)




Pour terminer chez Violette, ma voisine et maman de la mariée.
Les demoiselles d’honneur étaient ravissantes

Mais ce que j’aime photographier le plus pendant cette étape, ce sont les petits détails auxquels on prête généralement peu d’attention.


En particulier, la couleur des ongles de pied des demoiselles d’honneur qui était parfaitement combinée avec leur robe et le bouquet qu’elles portaient au bras.


Le puerco pibil de Noël



Cette année nous étions invités à passer la nuit de Noël chez des potes et comme l’année dernière, nous avons apporté un pueco pibil comme plat principal.
C’est ma femme qui l’a fait.
Etant donné qu’on n’en mange qu’une fois par an, qu’on adore ça et que généralement ça remporte un réel succès alors pourquoi s’en priver ? 
Il s’agit d’un plat mexicain à base d’épaule de porc marinée dans une sauce épicée.
faut que ça marine plusieurs heures

La sauce est composée entre autres de jus d’oranges et de citrons, de clous de girofle, de cumin et aussi de tequila:

c’est la seule tequila qu’on trouve ici, je sais que les puristes vont hurler

ainsi que de graines de roucou moulues:

c’est plus simple d’acheter le roucou en poudre car c’est très dur à moudre
Ça donne au final un plat très parfumé et savoureux qu’on accompagnera de riz blanc. Le porc fond dans la bouche et on en reprend plusieurs fois par gourmandise, surtout moi.

Si vous voulez la recette, google is your friend.

Comment connait-on ce plat alors qu’on n’a jamais mis les pieds au Mexique (mais depuis le temps qu’on le dit on va bien finir par y aller) ?
Il y a quelques années nous avons loué le DVD de desperado 2 (once upon a time in Mexico) de Robert Rodriguez avec Antonio Banderas aux côtés de Salma Hayek et Eva Mendes. Johnny Depp y joue le rôle d’un tueur qui a chaque fois qu’il va au restaurant, consomme ce plat qui est son préféré, se dirige vers les cuisines et abat le cuisinier “pour rétablir l’équilibre”.

Dans les bonus du DVD se trouve une “10 minutes cooking lesson” de la préparation du puerco pibil par Robert Rodriguez himself. (Robert, si tu me lis, sache que j’ai adoré Machete).

Peu de temps après, nous l’avons essayé et adopté.
Le puerco pibil, pas Robert.


Puisqu’on est au rayon bouffe et boissons, ceux qui les connaissent savent que les rhums dominicains ne cassent pas des briques, c’est pourquoi on les mélange généralement avec du coca pour obtenir un Cuba Libre.
Il y a toutefois et heureusement des exceptions. Le Cubaney et le Punta Cana sont des rhums vieux avec une pointe de saveur orangée qui rappelle le goût des babas au rhum à l’époque où ils étaient faits avec du vrai rhum.
Je pense qu’il s’agit des mêmes rhums sous deux appellations différentes.  On trouve le premier en duty free à l’aéroport de Santo Domingo. Si vous allez faire un tour en république Dominicaine, ramenez-en ou alors faites vous en ramener car ils valent d’être essayé façon ti punch. 





Sur la autopista Duarte, Noël 2009

Nous avons passé Noël 2009 en République Dominicaine. Rien d’extraordinaire puisqu’on y va tous les ans mais c’était la première fois qu’on allait y passer Noël (c’est-à-dire la première fois depuis qu’on n’y habite plus).
Et le lendemain (le 26 décembre pour ceux qui ont déjà décroché), nous allions fêter les 50 ans de mariage des parents de ma femme dans le nord de l’île à Sosua. C’est ce qu’on appelle les noces d’or. Ce fut l’occasion de réunir toute la famille: parents, grands-parents, oncles, tantes, grand-oncles, grand-tantes, cousins, petits cousins, neveux, nièces, arrière petits neveux et nièces, petites nièces et petits neveux, enfants, petits enfants, arrière petits enfants, gendres, belles filles et autre pièces rapportées. Tous étaient venus des quatre coins du pays, ainsi que de Puerto-Rico et de Guadeloupe.

Les jeunes mariés entourés de seulement les petits enfants. Deux sont à nous.
Ça a été un très grand moment, une très rare opportunité de se rencontrer tous, de se voir pour la première fois pour certains, de mettre un visage sur un nom ou de retrouver des proches qu’on n’avait pas vu depuis longtemps.
En ce qui me concerne, j’ai pu ajouter quelques pièces à ce puzzle généalogique me permettant ainsi de faire le lien entre certaines personnes.
D’ailleurs je n’ai pas encore compris toutes les ramures de cet arbre; il existe surement une appli sous androïd qui pourrait me synthétiser tout ça. Il faudra que je cherche à l’occasion.

C’était également l’époque où je débutai la photographie au flash me faisant ainsi appartenir au club des strobists. J’en profitai pour mettre en pratique ce que j’avais appris sur le web en utilisant un flash adouci avec un diffuseur et déclenché par radio.

Et surtout se dépêcher car en hiver dans les Caraïbes, la nuit tombe littéralement et je n’avais que très peu de temps pour profiter de la couleur du ciel.
Mais revenons à la photo qui illustre cet article. Elle a été prise un peu plus tôt dans la semaine  sur le bas côté de l’autopista Duarte alors que je rentrais à Santo Domingo après avoir laissé femme et enfants à Bonao. Je savais que cette photo se prêterait bien à un post traitement HDR (j’aurais l’occasion de reparler de cette technique).

Si on regarde bien, on constate la présence d’une tâche en bas à gauche.


En agrandissant, il y a bien un truc dans le ciel. Il ne s’agit pas d’une tâche sur le capteur ou l’objectif car ça n’apparaît pas sur les photos suivantes.


Le bidule est bien présent sur le fichier original:
On constate d’ailleurs une frange bleu à gauche et une frange violette à droite dues aux aberrations chromatiques de l’objectif (26mm f9.5). Il s’agit donc bien d’un objet réel ayant une consistance physique.
Mais on ne saura jamais ce que c’est. Sur une photo prise moins d’une minute plus tard au même endroit, il a disparu. Je n’ai rien remarqué au moment de la prise de vue. Je vous laisse supposer ce que vous voulez pour trouver une explication.
Non, les vaches ne volent pas, même en République Dominicaine.

Durant le voyage de retour, j’ai pris une photo de Montserrat depuis l’avion. Avec les explosions du volcan la Soufrière en 1995 et 1997, le sud ouest de l’île et Plymouth, la capitale, ont été totalement détruits. Comme on peut le voir sur cette photo qui montre justement cette zone, le volcan est toujours en activité.


Parfois il nous gratifie d’une pluie de cendres au gré de ses explosions comme en février 2010. Le ciel devient alors blanc comme s’il allait neiger, tout se recouvre de cendre et les bruits en sont étouffés. La nature devient grise et prend l’aspect d’un paysage lunaire. On respire mal et on a l’impression de se faire enfoncer de force du coton au fond du nez. A cette époque il n’a pratiquement pas plu et ça a mis trois semaine à être nettoyé (quand je vois ce qui tombe depuis 16 mois, je me dis que la nature n’est pas synchro…). Dès qu’il y avait un peu de vent, cela rentrait dans la maison et souillait tout. Même le punch en devenait pâteux.




Vanessa et Nicolas

Mon premier mariage (en tant que photographe).

Hier c’était le baptême du feu pour moi: j’ai photographié un mariage, celui de Vanessa et Nicolas.

Souhaitant rentabiliser mon hobby de photographe, j’ai décidé de me mettre à la photo de mariage. Avant de me jeter à l’eau je suis allé visiter les sites de ceux qui appartiennent au gratin de l’art, les demi-dieux vénérés dans tous les temples pronuptia du monde.

Entre autres Jasmine Star, Jeff Ascough, Laurie Bracewell, Jonas Peterson et plein d’autres. J’ai même acheté le bouquin de Marcus Bell pour lire en voiture pendant les coupures de courant.
Ces différentes lectures ont chamboulé mes a priori: je pensais que photographier un mariage était un travail aussi divertissant que celui de vendre des pin’s à un séminaire d’assureur. J’avais tout faux. Quand on regarde le boulot de ces maîtres, il y a de quoi s’éclater d’un point de vue photographique.


J’ai donc rencontré Vanessa et Nicolas quatre jours avant leur big day par l’intermédiaire de leur photographe officiel Pascal Zou (ex-collègue de boulot passé du côté obscure) qui m’a invité à collaborer avec lui pour que je puisse compléter mon portfolio. Pascal je t’embrasse et j’ai pour toi une reconnaissance infinie pour m’avoir mis le pied à l’étrier.
 

Pascal intervenant du mariage civil à la mairie jusqu’à la première danse lors de la réception j’ai proposé mes services en solo pour la préparation de la mariée. Il s’agit d’un moment privilégié ou le photographe partage et photographie la métamorphose de la femme en princesse d’un jour et reine pour la vie. C’est l’occasion de prendre en photo la phase de maquillage, la robe, les chaussures, les alliances, les accessoires… sans oublier toutes les personnes qui grouillent autour de cette préparation, les échanges de regard, les embrassades, les larmes, l’émotion partagée.






Les conditions pour réussir les photos à ce moment sont (à part une jolie mariée):

  • un environnement dégagé, on ne doit pas voir un arrière plan encombré de pleins de trucs inutiles qui perturbent le regard.
    Vanessa s’est préparée dans une toute petite chambre avec des étagères encombrées, des trucs et des vêtements accrochés aux murs, plein de   petits bidules de cosmétique sur une console de maquillage, un sol en petite mosaïque, un tapis sous le lit avec des motifs, un dessus de lit avec d’autres motifs.
    Le reste de l’espace en partie squatté par le matos de la maquilleuse.
    D’où: challenge numéro 1.
  • un éclairage doux et suffisamment lumineux diffusant au travers d’une grande fenêtre.
    Dans cette chambre il y avait une fenêtre teinte en jaune filtrant beaucoup de lumière. Pas désagréable mais peu lumineux en raison également du temps couvert.
    Challenge numéro 2.
  • de l’espace pour pouvoir manœuvrer et avoir du recul.
    Challenge numéro 3.

Le challenge n°1 a été gagné en remportant le n°3. Pas beaucoup d’espace donc des plans serrés donc pas trop d’arrière plans visibles. Le challenge n°2 a été gagné en utilisant un 50mm grand ouvert (ce qui a également contribué à la victoire au challenge n°1 en floutant l’arrière plan) ou un flash posé sur l’armoire et éclairant le plafond. 

 



(les ongles sont bien les siens)


En plus, Vanessa est photogénique avec ses jolis yeux et son sourire enchanteur ce qui 
contribue à faire de belles photos. C’est ce qu’on 
appelle la chance du débutant en ce qui me concerne.



Ensuite la mairie (un petit garçon était très ému).

    

Puis l’église.

La lumière divine a été obtenue en plaçant le
flash à 90° par rapport à l’objectif
là, l’image est plate car le flash est au-dessus de l’appareil

 

incroyable: un sorcier a changé le
lutrin en petit garçon

 

les paparazzi (les mêmes que pour le mariage de Kate et William)

Et puis il a fallu aller vite fait à la promenade de Lauricisque pour prendre des photos plus décontractées et moins dans le feu de l’action. On avait envisagé d’autres lieux plus sexy mais on est sorti de l’église à 17h et aux tropiques, la nuit tombe vite. Quand le temps est couvert, elle tombe deux fois plus vite. C’était vexant car dès qu’on sortait d’un endroit pour se rendre à un autre, il se mettait  à pleuvoir. J’ai quand même eu le temps de planter un stand avec un lumopro vissé sur un cactus trigger et un parapluie westscott pour produire “una luz bien suave” comme dirait ma femme.

généralement je m’en sors bien pour ce genre de photo
dommage qu’on n’ait pas mis de 2nd flash pour faire une “rim light”

On a fini au Lamentin pour la réception, ce qui m’a donné l’occasion de photographier des souvenirs pour les mariés.





Et d’en faire une dernière rigolote juste avant que mes batteries soient à bout de souffle.





Ce mariage fut un grand moment pour moi mais surement moins que pour Vanessa et Nico. Je les remercie pour leur sympathie et leur gentillesse ainsi que pour m’avoir accordé leur confiance. Je leur renouvelle mes voeux et leur souhaite beaucoup de bonheur.
L’ambiance était décontractée; en particulier  il y a eu ce moment sublime à l’église où le choeur a super vautré son deuxième chant et qu’on avait l’impression d’entendre un troupeau de brebis qu’on scierait en deux pendant qu’un maniaque ferait crisser de la craie sur un tableau.

C’était un mariage réussi. J’espère qu’ils le seront tous ainsi.


Allez, encore une de NYC

Parce que généralement, cette photo génère des “Waow !”


Allez, j’en mets une deuxième. J’ai rencontré Mark Reay en le topant sur le trottoir à Union Square pour le photographier dans le cadre du workshop Lightenupandshoot et il nous a appris qu’il est photographe et surement ancien mannequin.

Pour les passionnés: l’éclairage frontal est naturel, la lumière de contour (rim light) provient d’un flash à droite et j’ai assombri l’ambiance en prenant une vitesse d’obturation relativement élevée pour ce début de soirée.



Lévitation

L’autre jour (le dimanche 10 juillet à 16h48 environ) , de passage à Santo Domingo, nous sommes allés avec cousine Jossy au faro à Colón.
Il ne s’agit pas d’un éclairage hi-tech pour proctologue mais d’un monument imposant construit en 1992 dans la zone orientale de la capitale en hommage à Christophe Colomb. A l’époque où l’électricité était un peu moins cher et le pays moins ruiné, le phare était éclairé pompeusement la nuit et les projecteurs dessinaient une croix dans les nuages.
Tellement puissant qu’on le voyait depuis Puerto Rico à 200km. Pas de bol, je n’ai pas pensé à vérifier la fois où nous sommes allés à Puerto Rico, c’est dommage, ça aurait fait un arrêt si beau…
Il y a un énorme corridor dans presque toute la longueur du bâtîment, soit environ 200m. C’est là que j’ai pris ces photos avec un flash et le petit diffuseur sto-fen omni bounce (des fois faut faire simple, surtout quand on s’est pris une murge la veille avec les cousins dominicains).



Comme le temps était nuageux, la lumière était tamisée et douce pour faire un portrait de ma charmante cousine Jossy.



Mon objectif macro (my pimp goal)

L’autre jour (il y a à peu près 6 mois en fait), j’ai acheté sur ebay un objectif minolta 100 mm 2.8 macro RS à un prix intéressant, surtout que c’était en dollars.
Cela été motivé par le fait qu’un pote m’avait suggéré de faire des photos de bouffe. Sans vouloir concurrencer Jimmy sur facebook dont 75% des photos sont celles de ses repas (ici dans un resto chinois), j’ai tenté le coup… 

J’ai préparé une salade, versé du sirop de fraise dans un verre à vin, installé une softbox, 2 flashes et un miroir. Au bout d’une heure d’essai à triturer l’éclairage, la salade avait un peu défraichi en raison de la température tropicale et ça a donné ça:

J’ai photographié “high keys” et saturé ensuite les couleurs pour ne pas que ça fasse poubelle de macdo et je me suis dit que je pouvais faire mieux. Je me suis aussi rendu compte que le flash avait tourné dans la softbox et éclairait directement la salade.
Je suis donc allé faire un tour chez photojojo et c’est là que j’ai compris que ça serait mieux avec un objectif macro.
Bon, normalement on est sensé éclairer avec la lumière naturelle issue d’une fenêtre mais en Guadeloupe, ça cuit les aliments.
Disons que je vais continuer avec les flashes jusqu’à la prochaine ère glaciaire.
Pour ce qui est de l’objectif macro, je l’ai repéré sur dyxum.com: une vraie tuerie d’après les commentaires et surtout sa note globale très élevée et de loin meilleure que la version actuelle construite par Sony.
Un défaut quand même: c’est que l’autofocus est plutôt lent et bruyant mais on lui pardonne quand on sait qu’il a été conçu en 1993.
Mais c’est vrai que c’est une vraie tuerie au niveau couleurs et précision. La preuve en image:

et ce qui pourrait être considéré comme de la nourriture ailleurs dans le monde:
Ces images sont des jpg issus de l’appareil sans retouche ! Un konica-minolta 7D sorti fin 2004 avec un objectif de 1993.
Comme quoi c’est bien dans les vieilles marmites qu’on fait les meilleures soupes.



La black rapid strap

Au workshop de NYC, on m’a offert une black rapid strap RS-4. C’est ce qu’on appelle un give away, c’est-à-dire un goodies en français (pour les femmes permanentées il y a également des big goodies). Si on ne me l’avait pas offerte je l’aurais achetée.

Ca permet d’avoir les 2 mains libres lorsqu’on n’utilise pas l’appareil et surtout ne pas avoir l’air d’un gros touriste.
Il y a une petite poche au niveau de l’épaule dans laquelle on peut mettre des cartes de visite, un pass de métro, des cartes mémoire ou alors un choco BN un peu mou.
Indispensable pour le photographe moderne du 3ème millénaire.